La Chevelure ©APhR 2015
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La Chevelure
Femme, qu'as-tu en toi de si angoissant pour l'homme
qui justifie toute cette énergie, tout cet acharnement et toute cette inventivité
mobilisés de tous temps pour te briser ? ...
série "la chevelure" ©APhR 2014/2015 car, à travers tout, femme demeure .........
12 dessins, encre de chine, projections sanguines et pyrogravure sur papier calque/monté sur tulle/papier canson gris/baguettes-bois... 28 x 24 cm
La Chevelure N°11 n'est plus disponible.
article en cours de rédaction...
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Pense bêtes d'un jour @APhR 2016
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Pense bêtes d'un jour
lavis, encre de chine (au pinceau), pyrogravure sur papier calque végétal (40g)
12 dessins, 24 x 30 cm , 2016-17
cliquer dans une image pour les voir toutes en grand
"Pense bêtes d'un jour" en expo à l'Atelier10 chez Metaludah, sculpteur métal (Bordeaux)
au-dessus, des dessins de la série "la Chevelure" @APhR
Cette série démarre le 25 novembre 2016, j'ai fait le dessin N°12, le dernier, novembre 2017.
Il m'aura fallu 1 an pour terminer cette série, un dessin par mois.
Son visage est beau et lisse, il lui incombe que rien ne se devine à l'extérieur.
Mais l'ombre dans le regard ? ...
De cette chose qui, à tout moment, peut s'abattre sur elle dans le huis-clos des volets fermés
elle ne dira rien ... Tout va bien.
le 25 novembre est la journée dédiée à l'éradication des violences faites aux femmes
Pense bêtes d'un jour N°1 ©APhR 2016
Pense bêtes d'un jour N°2 ©APhR 2016
Pense bêtes d'un jour N°3 ©APhR 2016
Pense bêtes d'un jour N°4 ©APhR 2016
Pense bêtes d'un jour N°5 ©APhR 2016
Pense bêtes d'un jour N°6 ©APhR 2017
Pense bêtes d'un jour N°7 ©APhR 2017
Pense bêtes d'un jour N°8 ©APhR 2017
Pense bêtes d'un jour N°9 ©APhR 2017
Pense bêtes d'un jour N°10 ©APhR 2017
Pense bêtes d'un jour N°11 ©APhR 2017
Pense bêtes d'un jour N°12 ©APhR 2017
Pense Bêtes N° 7, 8, 9, 11 ne sont plus disponibles.
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les Réprouvés
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Série "les Réprouvés"
lavis sanguine, encre de chine (au pinceau), pyrogravure sur papier calque végétal
9 kakémonos (38 x 60 cm), 2016
Réprouvé : substantif - personne mise au ban de la société (déf. Larousse )
cliquer dans une image pour les visionner toutes en grand
► La fatigue des demandeurs d'asile #0, #2, #3 ©APhR 2016
► La Relégation #1, #2, #3 ©APhR 2016
► L'expulsion #1, #2, #3 ©APhR 2016
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Traces Tissées ©APhR, l'installation
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Traces Tissées GÉNÈSE Traces Tissées INSTALLATION Traces Tissées DESSINS
Traces Tissées, l'installation
Dans mon atelier.
Matériaux, matériel mis en œuvre :
- 12 élèments : dessins à l’encre de chine sur papier collé sur toile de lin, enserrés entre 2 plaques de verre de 30 x 30 cm
- 6 supports cadre en plastique transparent
- 3 tables métalliques de plateau = 60 x 60cm
- Portants : roseaux, polycarbonate, raphia
- Tissus : organdi, tarlatane ( 8 lés de chaque - largeur des lés : 24 cm - ) textes à l'encre de chine
Volume occupé par le dispositif :
Hauteur : 2,33 m
Largeur : 3 m
Profondeur : 2 m
Une largeur totale minimale de 5 m est nécessaire ( 1 m d’espace ouvert de chaque côté de la structure ).
contraintes :
Nécessite d’être installé en intérieur dans un lieu abrité des courants d’air.
Présenté en correspondance avec au moins 1 dessin de la série ‘’ Elle, Elles ‘’ ( ‘’ escale ‘’ )
Prestations annexes :
- Ateliers autour de la trace/empreinte ( enfants, adultes ) : travail à l’encre de chine
- Ateliers de fabrication d’outils-graphes et/ou d’encres, expérimentations
Un livret ‘’ Traces Tissées ‘’ a été tiré en édition limitée à partir des dessins et textes de l’installation.
Tout le dossier Traces Tissées ©APhR :
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Traces Tissées ©APhR, génèse
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Traces Tissées GÉNÈSE Traces Tissées INSTALLATION Traces Tissées DESSINS
Traces tissées (présentation)
Le signe ... le sens ... à partir de quel moment un trait devient-il trace, signe de quelqu'un ?...
Le dessin, l'écriture … où est la frontière ? À quel moment des tracés deviennent-ils écriture, signes porteurs de sens ?...
Deux interrogations qui me troublent régulièrement, réactivées quand j'entends : «il ''faut'' que tu signes » et accompagnées de cet étonnement sous-jacent : tous ces traits, ces points, ces signes posés là sur la feuille, issus de moi, n'en disent-ils pas assez ? N'est-ce pas déjà assez signé ? Quatre lettres facilement imitables seraient plus représentatives de moi ?
Depuis aussi loin que je me souvienne, je dessine, le plus souvent en noir sur fond blanc. S'il peut m'arriver de mêler quelques mots à des dessins ou des collages, ce n'est pourtant pas dans ces mots-là que j'ai la sensation d'avoir écrit mais bien plutôt dans ce qui se révèle quand pour un dessin je laisse filer sur le papier un rotring ou une plume chargés d'encres, d'émotions et de vécu.
Cette perplexité sur le véritable lieu de l'écriture s'est si souvent infiltrée dans ma tête, m'accompagne si souvent, si souvent a forcé plus loin mes pensées, que j'ai décidé d'en formaliser quelque chose en y consacrant un travail particulier.
C'est ainsi qu'est arrivé « Traces tissées » : 12 dessins non-abstraits, des mots en suspension sur tarlatane et organdi, des transparences, une installation aérienne, des ateliers et un livret.
Génèse
12 dessins en premier ...
Automne 2012, d'indignes couacs de la vie et de quelques personnes autour de moi me remplissent de triste colère. Le moral en berne, la rage au coeur, j'ai des aspirations de travail à la plume, de traits rapides et griffus, de crissements sur la feuille, de petits formats vite envoyés. J'abandonne un temps le rotring, prends le parti de laisser sortir, ne pas diriger. Suivre l'injonction brute, le geste spontané, ... Je ferai un dessin par jour jusqu'à épuisement de l'envie. Des dessins/tracés qui n'auront rien à représenter ... du moins, je l'ai cru.
Dès le 3ème ou 4ème jour, vient s'imposer cette idée : la série sera de 12 . Pourquoi 12 ? les 12 travaux d'Hercule ? les 12 mois de l'année ? 12 oeufs ? je suis née un 12 ?... dessins faisant, j'y penserai. 12 ? Je sais simplement et avec certitude qu'au 12ème dessin, la série sera terminée.
Dans les premiers jours, les traits sont griffures, déchirures, noirceurs... Puis progressivement je les sens s'assouplir, s'organiser, tisser un espace dans lequel s'installent des désirs de matières plus sensuelles. Exit rage et colère. Place à l'apaisement. Au 12ème dessin, me voilà effectivement arrivée au terme du passage, rien à ajouter.
La série terminée et alignée, je la regarde et m'amuse d'avoir cru ne rien représenter alors que se lit là, chronologiquement, l'évolution de mes états d'esprit de ces 12 jours. Dans les premiers dessins ravagée, je me vois modelant les derniers apaisée.
C'est pourquoi, un temps, j'ai appelé cette série "les serpillières"... dualité : une serpillière pouvant être une gueille, une loque qu'on peut piétiner mais aussi une toile qui éponge, qui nettoie, qui absorbe.
En écho, l'idée me vient de présenter chaque dessin sur un rectangle de toile à tissage apparent, que je découpe dans des torchons en lin.
Pour faire honneur à la transparence _ celle qui fait trans-paraître du sens et de la personne avec tellement d'efficacité et de clarté _ j'ai l'envie d'enserrer chaque pièce entre 2 plaques de verre de format carré.
Puis les "serpillières" ont été exposées, 2 fois, dans des présentations qui ne me satisfaisaient pas. La sensation de quelque chose de pas encore abouti ... Dans ces cas-là, on laisse reposer dans les cartons, laisser du temps ... Mais j'en retiens alors et surtout cet étrange et familier constat essentiel : la clarté de ce qui s'est inscrit dans l'entrelacs des lignes, ce qui s'y est dit, s'y est raconté, s'y est écrit et me parle.
Outils et matières ...
Jusques-là, les "rotring" ont été mes outils de prédilection, depuis des années, avec des encres de chine le plus noir possible sur papiers blancs. L'intrusion soudaine de la plume amène des sensations plastiques qui me sont inhabituelles, des nécessités de gestes nouveaux, des besoins de supports autres. C'est ainsi que s'introduisent tout naturellement sur ma table papiers calques froissés, rendus sensuellement cassants pour avoir été humidifiés, papiers japonais, kraft, tissus et intissés... Je dilue des encres, noires mais aussi ocres ou de sienne : lavis et taches rentrent dans l'orthographie des dessins réalisés dans les mois suivants.
L'exploration du travail à la plume a parallèlement ouvert la porte à d'autres outils : pinceaux, divers calames taillés dans des roseaux de jardinerie, cure-dents et autres outils-graphes découpés dans des boîtes de conserve, tous par ailleurs outils liés à la... calligraphie.
de "serpillières" à "Traces tissées"
Fin juin 2013, un appel à candidature: "Art et Écriture" vient réactiver ma réflexion sur les ambivalences dessin/écriture dans mes travaux à l'encre. C'est le moment d'en faire (d'en dire) quelque chose. La série "serpillières" sort des cartons, s'impose comme un élément symbolique illustrant cette ambivalence, élément nécessaire qui prend sa place dans un ensemble plus vaste dans lequel je ne veux pas dissocier écriture/expression de soi, écriture/calligraphie, dessin/graphie, dessin/expression de soi.
Dans "écriture" j'entends tout mêlé :
- écriture/utilisation de signes conventionnels pour représenter une idée,
- écriture/acte manuel de former des signes, graphie dans laquelle chacun laisse une trace particulière, son empreinte,
- et écriture/expression très personnelle de quelqu'un qui donne à voir plus ou moins intentionnellement une part de lui-même.
Aussi des mots écrits, dessinés au pinceau sur des lés de tissu, viennent-ils s'ajouter aux 12 dessins premiers. Il est possible de regarder ces mots comme textes dans leur présentation horizontale des bandes d'organdi de l'arrière-fond. Mais leur nature "signes révélateurs de sens" est aussitôt estompée derrière les bandes de tarlatane du premier plan sur lesquelles ils apparaissent en lignes verticales puis ces bandes retournées pour qu'alors soit perçue la nature esthétique particulière de ces tracés. Tout est fusionné dans une installation où le regard peut aller et venir sans ruptures du dessin à l'écriture, du graphisme au sens (aux sens ?).
Une transparence (ce qui fait paraître à travers, ce qui laisse deviner) se manifeste toujours dans mes réalisations, qu'elle soit le résultat d'une intention volontaire ou la résurgence inconsciente d'un récit intime.
Aussi ai-je utilisé le verre, ce choix de tissus diaphanes, l'évidence du format carré, la légèreté apparente du dispositif comme autant de métaphores de ce phénomène.
(ambigïté des niveaux dans la compréhension du mot "écriture" = allusion (référence) scribe -feuille blanche et parchemin// roseaux-calames - sens propre et sens figuré : traces tissées)
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GÉNÈSE INSTALLATION DESSINS
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la Grande Bleue ©APhR
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La Grande Bleue
Une installation présentée pour la 1ère fois début août 2016 à "Rue Mont'Art/ expo BLEU", salon d'arts actuels de Montalivet (33)
Lés de fin coton blanc en suspension, 160 x 75 cm/ Dessins réalisés de mai à juillet 2016 au pinceau fin et encre acrylique turquoise foncé (qualité professionnelle à forte pigmentation) sur lavis bleu cobalt (peinture acrylique diluée)
Dans l'atelier ...
en situation ... expo "BLEU, Rue Mont'Art" Montalivet (33) du 10 au 16 août 2016
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Encres autres
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Encres autres
ô le chagrin très froid qui ne s'appelle pas chagrin ...
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La Faille ©APhR
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la faille
Armé d'une agrafeuse et d'un pot de colle,
il s'écria :
" ça y est !... j'ai trouvé la faille ! "
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Croquis ©APhR
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Croquis pour "Ego"
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Elle, Elles ©APhR
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Elle, Elles
dessins sur papier : encre de chine/rotring (2010)
L'original du dessin "Escale" n'est plus disponible.
La série ‘’Elle, Elles’’ vue par Janine Rivais :
‘’ Il semble bien que l'artiste propose à chaque fois, un récit double, avec deux niveaux à considérer : Le "lieu" sorte de huis clos, et l"'aventure" subie par la femme. Composition étrange, donc, sorte de défi lancé au visiteur, qui consiste à rendre "lisible" ou au contraire difficilement lisible, voire illisible, l'histoire offerte dans le tableau.
Ainsi, d'œuvre en œuvre, Anne PhilomèneROLLIN suggère-t-elle des questionnements, des possibilités, mais aucune réponse ! Et à chaque fois, le spectateur se retrouve devant la bivalence de la femme : Violence de sa souffrance et acharnement à faire toujours plus pour s'arracher à la terrible difficulté dans laquelle elle se trouve ! ‘’
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